J’ai découvert le jeu de société dans les années 80 avec des jeux classiques (Cluedo, Labyrinthe) mais aussi le jeu de rôle avec la première boîte de Donjons et Dragons. J’ai toujours aimé jouer mais je n’ai pas toujours eu l’occasion de me consacrer pleinement à cette passion. J’ai renoué avec le jeu de société il y a maintenant quelques années.
J’aime aussi les Livres dont vous êtes le héros, les littératures de l’imaginaire et le jeu vidéo (la série des Elder Scrolls en tête, mon avatar étant celui de mon personnage dans The Elder Scrolls On Line, la version MMO de Elder Scrolls).
J’ai participé au podcast Proxi-Jeux pendant 6 ans et j’ai pu participer à de nombreuses émissions. J’y ai créé la chronique Joueurs Nés dédiée aux jeux pour enfants puis C’Est l’Histoire d’un jeu avec Hammer (chronique dont vous pouvez retrouver les textes sur ce blog). J’ai également animé la présentation des Chroniques mensuellement, tout d’abord avec ddschutz puis à titre principal, toujours accompagnée d’un membre de l’équipe.
J’ai aussi participé aux interviews, dossiers, Jeux du mois, Nanar ludique, Le Pour et le Contre, XP, ainsi qu’aux émissions Twitch.
Aujourd’hui, je crée un blog pour regrouper l’ensemble de mes contenus, et j’ai aussi repris le micro dans un podcast du même nom.
Je m’efforce de ne pas expliquer en détail les règles de jeu. J’essaie de me concentrer sur les sensations de jeu et l’analyse. De la même manière, j’essaie de proscrire certains arguments comme « facile à expliquer », « rapide à jouer » ou « rejouable ». Ce sont de faux arguments, qui procèdent d’une démarche marketing destinée à vendre plus et qui n’ont rien à voir avec les qualités intrinsèques d’un jeu.
Dernière chose importante : je suis attachée à favoriser l’inclusivité dans notre loisir et j’utilise le féminin générique. Pourquoi ? Parce que je pense que, à mon simple niveau, mon seul moyen d’action concret est de contribuer à faire évoluer les représentations. Si le sujet vous intéresse, je vous renvoie à l’excellent podcast Parlez comme jamais consacré à l’écriture inclusive et à ces problématiques.
Et puis aussi je fais ce que je veux !
